Une fois de plus, le musée du Louvre ne respecte pas la "charte éthique" que l'établissement public a lui-même instauré pour encadrer les opérations de mécénat, de parrainage ou de mise à disposition d'espaces dont il est le bénéficiaire et dont un article stipule que "le musée s'engage à mettre en oeuvre les moyens d'information nécessaires à l'explication du public quant à la nature et la durée de la gêne occasionnée" par l'un de ces événements qui se produiraient dans ses murs.
Or, une fois de plus, la Cour carrée a été occupée - et défigurée - pendant plusieurs semaines par le chantier d'installation d'une tente géante qui devrait disparaître entièrement le 18 mars prochain, pour un événement dont on ne savait rien et dont on apprend aujourd'hui par la presse qu'il s'agissait en fait hier du défilé de mode de Marc Jacobs pour la marque Vuitton, se voulant un hommage au peintre Vermeer. Un maître de la lumière pour une direction du Louvre qui, elle, n'aime rien moins que l'obscurité en matière de transparence de l'information.
La Cour carrée du Louvre, le 8 mars 2009 © Louvre pour tous
Or, une fois de plus, la Cour carrée a été occupée - et défigurée - pendant plusieurs semaines par le chantier d'installation d'une tente géante qui devrait disparaître entièrement le 18 mars prochain, pour un événement dont on ne savait rien et dont on apprend aujourd'hui par la presse qu'il s'agissait en fait hier du défilé de mode de Marc Jacobs pour la marque Vuitton, se voulant un hommage au peintre Vermeer. Un maître de la lumière pour une direction du Louvre qui, elle, n'aime rien moins que l'obscurité en matière de transparence de l'information.
La Cour carrée du Louvre, le 8 mars 2009 © Louvre pour tous
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